Brasserie Maxime : l’imprévu qui vous claque la papille et vous remet le sourire 

Parfois le hasard fait bien les choses. J’avais un rendez-vous dans la cité du Maca, une petite heure devant moi et une petite faim qui me tenaillait. Dans ce cas, je ne suis pas du tout moderne. Je ne cherche pas sur internet, je ne demande pas aux copains, rien de rien. J’y vais au hasard, un peu au pif.

Un terrasse microscopique, près de la place Bosch. Une serveuse souriante. Quelques paires de clients attablés devant un verre sous le pauvre soleil de fin mai. Le marché se terminait, les marchands repliaient leurs étals. Vous connaissez ce genre d’ambiance entre deux moments suspendus.

Nous sommes entrés, parmi les premiers clients de ce midi-là. Le cadre est tout simple, à la limite du quelconque, il faut bien le dire. Rien de particulièrement design ou chaleureux. Mais un serveur avec un sourire radieux, une équipe qui à l’air de joyeusement s’amuser. La cuisine est ouverte, deux cuisiniers s’y affairent tranquillement, sans trop de bruits, juste de quoi donner un peu de vie en ce début de service. Les clients commencent à entrer, la salle se remplit. Le service suit, accueille les habitués.

À la carte

Nous avons jeté notre dévolu sur un poulet grillé (20,2€) pour ma compagne et j’ai pris un salade César (18,2€). Non seulement tout était savoureux, mais en plus les portions étaient Pantagruéliques. À la carte on fait dans le simple et l’abordable.

Suggestions du jour

• Bouyiourdi (17,5€)
• Cuisses de grenouilles à l’ail (17€)
• Burrata aux tomates et pesto (16,5€)

Plats

• Tagliata de Black Angus irlandais (26,5€)
• Rognon de veau, moutarde à l’ancienne (22€)
• Et bien d’autres choses encore

Boissons

Niveau vins, c’est assez simple, on ne vient pas ici pour une dégustation complexe, par contre le choix de bière est assez complet.

Conclusion

On vient ici pour se poser, se restaurer et sourire paisiblement parce que l’on a passé un bon moment, pas pour faire de son stoef.